Centre for Romanian Studies

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Entries Tagged as '“Mircea Milcovitch”'

Mircea Milcovitch: «Le Grand Mystère», Les Editions Romaines

September 23rd, 2013 · 1 Comment · Books, Diaspora, International Media, OPINION, PEOPLE, quotations, Reviews

L’ouvrage que vous, lecteur, tenez entre vos mains n’est pas à proprement parler un ouvrage de théologie. D’ailleurs, l’auteur n’en aurait pas la prétention. Il s’agit en revanche d’un livre dans lequel Mircea Milcovitch a consigné l’ensemble de la logique biblique, de son intelligence de la foi chrétienne, qu’il a, au préalable, fait valider au fur et à mesure par de nombreuses conversations avec des théologiens de l’Institut Saint‑Serge de Paris (surtout Constantin Andronikof), et des moines‑théologiens du monastère bénédictin de Chevetogne, en Belgique.

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Mircea Milcovitch – Un irréversible journal de retrouvement, by Thiery Jolif (www.unidivers.fr)

October 21st, 2012 · Comments Off on Mircea Milcovitch – Un irréversible journal de retrouvement, by Thiery Jolif (www.unidivers.fr) · Books, Diaspora, International Media, OPINION, PEOPLE, quotations, Reviews

Comment faire d’un chemin d’exil une marche de « retrouvement », de retournement sans retour ?
Si, ainsi qu’aimait le rappeler Claudel, « Dieu écrit droit avec nos lignes courbes », l’écriture pourrait bien alors se révéler être le vecteur de ce ré-embrassement à la fois charnel et spirituel, demeurer étranger à son pays, à son passé et pourtant présent à tout et à tous.

Il aura fallu plus de quarante années de maturation pour que l’artiste Mircea Milcovitch publie son « journal d ’exil ». Un journal qui n’est pas le fait d’un scrutateur de soi, d’un « indiscret observateur » de soi-même mais une toile écrite comme est tissée celle de l’araignée. Les gouttes de rosées qui ici s’irisent à la lumière du soleil de la mémoire sont des souvenirs. Ecrits, ils sont pris dans la toile fine, subtile, prisonniers ils étaient destinés à l’oubli…

Il faut écrire la pensée pour la dérouler. (p. 225

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Book Launching (France): “Journal d’exil” by Mircea Milcovitch, Éditions Amalthée

January 8th, 2012 · 2 Comments · Books, Diaspora, International Media, PEOPLE, quotations, Reviews

Les “Éditions Amalthée” publieront dans la seconde moitié du mois de février 2012 le “Journal d’Exil”. Ce récit avait été rédigé après l’arrivée en France de l’artiste, entre octobre 1968 jusqu’à la fin de l’année 1969. Le livre est préfacé par le docteur Marc Andronikof.
he Éditions Amalthée publishing house will launch in February 2012 the Memoirs of artist sculptor Mircea Milcovitch (Mircea Milcovici), with a preface by Mark Andronikoff. This book is written by en exile, whose family was no stranger to the sad road of uprooting. Mircea’s father, himself a native of Bessarabia, was compelled to seek refuge in the Kingdom of Romania in the wake of the invasion by the Red Army, at the end of WWII. T
Whilst reading an early draft of this Memoir, one encounters a certain melancholy, imbued by generations of displaced ancestors, living at the confluence of warring empires. But beyond this one can detect a strong determination to live the newly-found freedom and to succeed in the artistic career.

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Commentaires sur un “Diskos” Orthodoxe

February 17th, 2011 · 2 Comments · Art Exhibitions, OPINION, PEOPLE, Reviews

Jésus parlait en paraboles, utilisait donc des symboles ; les premiers chrétiens les utilisaient pour communiquer en se cachant : cependant, la symbolique chrétienne n’a pas l’importance des autres, puisque le christianisme n’est pas une religion ésotérique, mais bien au contraire, exotérique. Il n’y pas d’initiation secrète réservée à une caste. Sur votre diskos j’ai observé des choses que vous avez sans doute devinées sans difficulté et en dirais quelques mots sans trop m’étaler.

Il y a d’abord la séparation des trois enceintes, *[i] l’enceinte centrale représentant une église, symbole de la Jérusalem Céleste. Le mot Iérusalim en slavon y est d’ailleurs ajouté, et ce n’est pas pour indiquer que le diskos appartenait à une église se trouvant géographiquement à Jérusalem. Puis, l’enceinte qui l’entoure, l’Église terrestre où poussent les arbres de la sainteté et se trouve aussi l’emblème du pouvoir royal terrestre (l’aigle bicéphale). Un anneau les sépare, et sur cet anneau il y a des oiseaux, oies ou cygnes. Le tout est entouré par un autre anneau, des eaux peuplées de poissons contenus dans un genre de branches, de palmes, ou la représentation de l’eau courante. C’est possible, car ce sont les flots de l’eau de vie.
In the Eastern Orthodox and Greek-Catholic Churches, the Paten is called a diskos. The diskos is usually more ornate than its Latin-Rite counterpart, and must always be made of gold or at least be gold-plated. The diskos may be engraved with an icon of Jesus Christ, the Nativity of Christ, a cross, or more frequently, an icon of the Theotokos. For Christians of the East the diskos symbolises the Virgin Mary, who received Christ into her womb, and gave him birth; and also the Tomb of Christ which received his body after the Crucifixion, and from which he resurrected. During the Divine Liturgy it is not only the Lamb (Host) that is placed on the diskos, but also particles to commemorate the Theotokos, the Saints, the living and the departed. Thus, on the diskos is represented the entire Church: the Church Militant and the Church Triumphant, arrayed around Christ. During the Consecration of a Church, a diskos is used to hold the relics of the saints which will be sealed in the Holy Table and antimension by the bishop.

In the usage of the Coptic Orthodox Church, the diskos usually has a flat bottom with no foot. Additionally, it has a raised edge, forming a relatively high rim, preventing particles of the offered elements from falling to the floor.

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Poetry (LXXVI): “Bocet din Gorj”- culegere de Constantin BRAILOIU

September 30th, 2010 · Comments Off on Poetry (LXXVI): “Bocet din Gorj”- culegere de Constantin BRAILOIU · Diaspora, PEOPLE, Poetry

« ALE MORTULUI » (Gorj) culegere de C. Brâiloiu

( BOCET culegere de Constantin Brailoiu, transcris de Petru Comarnescu si transmis lui Mircea Milcovitch )
Zorilor, zorilor, / Voi surorilor, / Voi sà nu pripiti, / Sà ne nàvàliti, / Pînâ si-o gàti, / Dalbul de pribeag, / Un cuptor de pîine, / Altul de màlai, /Nouà buti de vin, / Nouâ de rachiu, / Si-o vacuta grasà, / Din ciread-aleasà, / Sà-i fie de masà. /

Din ciread-aleasà,

Sà-i fie de masà.

Mircea Milcovitch*** (n. 1941) care ne-a transmis “Bocetul” din Gorj este nascut in Romania unde a studiat la Institutul Nicolae Grigorescu, dupa care s-a stabilit in Franta. Artist sculptor de reputatie mondiala, lucrarile lui Milcovitch sunt prezente in muzee si colectii din Franta si din intreaga lume.

http://www.vincentroman.com/blog/mircea-milcovitch-nude-shapes-and-forms/

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Mircea Milcovitch – “Le Génie du Sphinx” – Confessions sur la gestation d’une sculpture

April 24th, 2010 · No Comments · Art Exhibitions, Diaspora, PEOPLE

En 1991, j’achevais une série de dessins et sculptures. La source d’inspiration était l’ancienne Égypte, dont j’avais essayé d’extraire l’esprit, à ma manière, c’est-à-dire selon mon propre code de formes, et après un long travail d’élaboration. Sans que ce soit l’unique « source » de mon travail, je regardais et interrogeais cet art sculptural depuis longtemps, depuis mon arrivée à Paris. Lorsque je l’avais rencontré au Louvre, j’avais subi un choc. Je m’étais rendu compte que les reproductions ne pouvaient pas rendre compte de la réalité, remplacer la rencontre, le contact avec cet art monumental. J’avais senti une communion, un lien avec ceux qui l’avaient conçu et exécuté. Dans le sous-sol du Louvre, où ces sculptures étaient exposées, j’ai posé la main sur l’épaule d’une sculpture égyptienne en basalte noir. Je suis resté longtemps figé à côté de cette sculpture, ma main sur son épaule. La pierre froide sentait le toucher et transmettait quelque chose à son tour. Ce n’était pas uniquement une impression. La sculpture me devenait étrangement proche.

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